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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 00:30

Lieu: Espace Saint-Jean de MELUN (salle de conférence; 1er étage)

 

Horaire: 14 h 30 à 18 h 00

 

Entrée libre

 

 

Lors de cet après-midi d'initiation, seront présentés:

  • Les bases et les ressources actuelles de la recherche généalogique.
  • Les moyens de mise en forme des résultats de vos recherches.

 

Nous vous attendons !

 

A samedi

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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 05:30

Hôtel de l'Orme rue Ernest Dessaint 77120 Coulommiers

 coulommiers touristes A l'initiative du CGHSM Antenne de Coulommiers, le CDIP animera une conférence ouverte à tous, sur ses logiciels, le samedi 23 janvier 2010 à partit de14h30. Promotion sur Généatique Prestige, Photos de Famille, le Dictionnaire des Toponymes de France et Studio-Scrap2, avec démonstrations.

Vous pouvez aussi nous adresser un message à :  mailto:cgh77@wanadoo.fr

ou nous appeler au 06 89 77 03 37


Entrée gratuite.

 

 

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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 18:55

Lors des rDv du mardi aux Archives départementales de Seine et Marne le 22 septembre à 18 h 30, Claude-Clément PERROT président du CRDMA de Saint-Mammès présentera leur fin tragique, leur présence mieux appréhendée par des recherches archéologiques.


 

Le vendredi 13 octobre 1307 au matin, par la volonté du roi Philippe IV le Bel, l'arrestation des Templiers s'accomplissait en France, ce que l'historien Michelet appela, sans doute avec exagération, « un cataclysme» .

Au terme de sept années d'un procès inique et d'infâmes tortures, les derniers chevaliers du Temple périssaient dans les flammes, criant à tous leur innocence. C'était le 18 mars 1314, à Paris.

Héros légendaires loués par Saint Bernard, les Templiers comme les Hospitaliers s'étaient investis en Terre Sainte.

 

Sept siècles après leur destruction, ils fascinent encore. Les élucubrations les plus diverses, les fantaisies ésotériques emplissent les vitrines des librairies, noyant la vérité. Il reste l'architecture qu'ils ont laissée avec leurs chapelles et commanderies dans différentes régions de France, et particulièrement en Seine-et-Marne : la commanderie de Fourches (commune du Vaudoué), qui fut par le passé l'un des chantiers de fouilles du CRDMA de Saint-Mammès, association qui continue à consolider les vestiges de la chapelle, et plusieurs caves d'anciennes commanderies seront présentées.

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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 16:24


Samedi 18 avril 2009 Espace Saint Jean
14h30 salle N° 3 2ème étage à MELUN
le CGHSM organise une conférence sur
LE LAIT, LA VACHE ET LE CITADIN
du XVIIe au XXe  siècle

 

Perrette, l'accorte laitière de la fable, portait à pied, très tôt chaque matin, le pot à lait de ses clientes citadines. Elle écoulait la production quotidienne des quelques vaches de l'exploitation. Le lait, produit périssable, devait arriver le plus frais possible sur le marché. À l'époque de La Fontaine, en l'absence de moyens de transport rapides et de procédés de conservation efficaces, le lait devait être produit et collecté à proximité immédiate des lieux où il était vendu. Peu consommé par les populations rurales et ne donnant lieu à aucun commerce important, il était surtout transformé (fromages, beurre) ou servait au nourrissage des veaux.

Retraçant l'histoire de la production laitière, lilmontre comment, sous l'effet de la mode au xviie siècle, le lait est devenu un produit courant en même temps que le café. Il décrit l'organisation de la production laitière, assurée par les fermes des laitiers-cultivateurs, ainsi que par les étables des laitiers-nourrisseurs situées à l'intérieur de la ville ou dans la proche banlieue.

En lisant cette fable de La Fontaine, il n'est venu à l'esprit de personne que Perrette ait pu ajouter à son lait de l'eau du puits pour faire plus rapidement fortune, ou qu'elle ait trompé sa clientèle sur le volume de lait vendu, ou, pire encore, que son lait ait pu transmettre des maladies mortelles...

Cet ouvrage décrit le long et difficile chemin qui a permis au lait de devenir l'aliment sûr qu'il est aujourd'hui. Si la lutte contre les fraudes est ancienne, l'application des normes d'hygiène ne s'est imposée que plus récemment.


L'auteur Pierre-Olivier Fanica Ingénieur agronome,

Pierre-Olivier Fanica fait sa carrière dans le service de recherche d'une société spécialisée dans la mise au point de produits phytosanitaires. Il se consacre ensuite à l'écriture et publie la biographie de Charles Jacque, peintre animalier de l'École de Barbizon, également surnommé le « Raphaël » des moutons. Puis il se passionne pour l'histoire de l'agriculture de sa région. Domaine encore peu exploré, l'histoire de la production laitière devient alors son sujet de recherches privilégié.

 

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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 19:40



Lors de la réunion mensuelle de l'antenne de Coulommiers rue Ernest Dessaint le samedi 24 janvier à 14 h 30 , le CDIP fera une présentation de ses logiciels liés à la généalogie :


Généatique, Photos de Famille, Dictionnaire des Toponymes, Cartes Anciennes, Studio Scrap.


L'entrée est libre

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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 17:32



Michel Rouet présentera
son livre

Histoire de la famille Lantenois d'Amillis

le samedi 15 novembre à 14 h
à l'Espace Saint Jean à Melun,


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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 21:47
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samedi 19 avril 2008, à l’Espace Saint-Jean de Melun
une exposition - conférence autour du livre :

 

 

“LES AFFICHES 1914 - 1918”

donnée par l’auteur Gérard ÉDÉ

 

Durant cette guerre, l’affiche a joué un rôle essentiel dans la mobilisation de l’opinion publique. Les affiches officielles n’avaient pas pour objet de séduire ou de convaincre, leur but était d’informer la population des décisions gouvernementales.

 

Les affiches illustrées procédaient d’une toute autre démarche qui reposait sur la volonté de susciter les initiatives individuelles et de canaliser vers une espérance en la victoire finale. Utilisées comme un instrument de propagande ou d’appel à la solidarité, les affiches avaient ainsi pour objectif le rassemblement de toutes les forces humaines et de toutes les ressources financières.

 

Le gouvernement français se trouvait devant la nécessité absolue de sauvegarder la cohésion nationale, aux champs, dans les usines comme dans l’enfer des tranchées.

 

L’une de ses principales préoccupations était alors de mobiliser “l’arrière”, tant d’un point de vue économique (les emprunts) que d’un point de vue affectif (solidarité et maintien du moral des troupes).

 

L’effort de guerre ne devait donc pas être seulement supporté par les combattants du front, les civils devaient eux aussi y prendre part.

 

En un temps où la radio et la télévision n’existaient pas, l’affiche demeurait un des seuls moyens dont disposaient les autorités pour communiquer directement et rapidement avec la population.

 

Editées par centaines et diffusées massivement, les affiches étaient omniprésentes pendant toute la durée du conflit. Elles recouvraient les murs des villes et des villages, étaient placardées sur les façades des mairies, des écoles, des édifices publics et des banques.

 

Pour réaliser ces affiches, l’Etat, les banques et les sociétés de secours faisaient appel aux talents des artistes célèbres (Faivre, Hansi, Job, Leroux, Naudin, Poulbot, Scott, Sem, Steinlen, Willette …) ou encore méconnus. Ces artistes étaient des dessinateurs de presse (l’Illustration), des caricaturistes (l’Assiette au Beurre, le Rire, la Baïonnette) ou des illustrateurs.

 

Ces affiches dont le style allait de l’image réaliste à la figuration allégorique, mêlaient l’ironie et le sarcasme au tragique et à la gravité. Elles faisaient appel à des sentiments aussi divers que la colère, la sensibilité, la crainte ou l’espoir.

 

Horaires : 14 à 18 heures

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16 mars 2008 7 16 /03 /mars /2008 07:42

14 h 30, le Cercle de Généalogie et d'héraldique de Seine-et-Marne se réunira à Coulommiers, à l'Hôtel de l'Orme (ancienne sous-préfecture), rue Ernest Dessaint.
Echanges et informatique seront au menu de cette réunion:
les généalogiste, amateurs de vieux papiers, ne néglige pas pour autant les outils du présent, pour gérer, présenter, échanger ou transmettre, non seulement les résultats de leurs recherches, mais aussi les photos de famille, les photos de classe, etc.
Toutes les personnes interessées sont cordialement invitées à se joindre à nous avec leur arbre généalogique et leur ordinateur portable si possible.

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 21:36
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d’après les écrits de l’époque

ARLEUF de 1625 à 1725
 

conférence de Gewa THOQUET

à l’Espace Saint Jean de Melun le samedi 22 mars à 14 heures.

Arleuf, au cœur du Morvan, 800 habitants. Un petit bourg, au cœur de la Nièvre, totalement rural encore aujourd’hui. Mais comment vivait-on il y a trois siècles, dans ce village tranquille ? Gewa Thoquet, dont la belle-famille est originaire d’Arleuf, s’est penchée sur les rares textes qui existent, mais aussi à la façon des généalogistes sur les registres paroissiaux, les actes de notaires, etc., pour faire revivre au quotidien ces Morvandiaux. Était-ce vraiment le bon vieux temps ?, se demande-t-elle avant d’étudier tous les aspects de la vie paysanne.

 

Il s’agit donc là d’une monographie villageoise comme il en fleurit régulièrement. Le « plus » toutefois de cet ouvrage est d’avoir su sortir du domaine de la recherche pour mettre en scène et faire vivre sous les yeux du lecteur ces paysans du XVIIe siècle. Louis Barthault, l’agriculteur, retrouve vie le temps de quelques pages, comme Jeanne violée par le fils de son patron. Tout ce petit monde va à la messe, travaille dur et meurt jeune, sans parfois pouvoir transmettre le peu de biens qu’il possède.

 

A cette étude sont jointes plusieurs annexes comme la chanson du p’tit gars de Varmenoux, la copie de lettres ou un précieux glossaire sur le vocabulaire de l’époque.

 

Michel de Montaigne ne s’écriait-il pas au XVIe siècle « Quel contentement me serait-ce d’ouïr quelqu’un qui me récitât les mœurs, le visage, la contenance, les plus communes paroles et les fortunes de mes ancêtres » ? Avec son livre, Gewa Thoquet nous donne, cinq siècles plus tard, la satisfaction que Montaigne n’a pas pu avoir… Elle raconte avec force détails, de manière exacte et scientifique, la vie du petit peuple de nos campagnes au XVIIe siècle.





Arleuf : le passage de Pichu

Photo extraite de Histoire et archéologie - Morvan et Bourgogne - Articles en ligne de Roland Niaux http://v.niaux.googlepages.com/home

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15 décembre 2007 6 15 /12 /décembre /2007 17:27

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Généatique et sa famille
 








Lors de la permanence de janvier de  14h30 à 18h00 à l' Hôtel de l'Orme Chaumont dans l' Ancienne sous-préfecture de Coulommiers,  rue Ernest Dessaint, le CDIP fera une présentation de ses logiciels liés à la généalogie :

Généatique, Photos de Famille, Dictionnaire des Patronymes, Cartes anciennes....

et le petit dernier : Studio Scrap

Entrée libre
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