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15 juin 2008 7 15 /06 /juin /2008 14:19

Illustration de Maria Garcia

Chaque Dimanche, jusqu'à fin juillet, le château de Blandy-les-Tours propose un rendez-vous culturel ou musical. Découvrez le programme.

EN PRATIQUE
Tous les dimanches à 15h30 au château de Blandy-les-Tours
Spectacle gratuit une fois acquitté le prix d'entrée à la visite du site.
Sur réservation et dans la limite des places disponibles.
Les places sont à retirer une demi-heure avant le début du spectacle. Les places non retirées 10 minutes avant le spectacle sont remises à la disposition des personnes n'ayant pas réservées, en attente sur place.
Renseignements / réservation :
01 60 59 17 80
Dimanche 8 juin
DIDIER LOCKWOOD, THOMAS ENHCO QUARTET - JAZZ
Virtuose du violon jazz et star de l'instrument, Didier Lockwood s'inscrit dans la lignée prestigieuse des Stéphane Grappelli et Jean-Luc Ponty. Musicien précoce comme en témoigne sa présence au sein du groupe Magma au milieu des années 1970 et fort d'un récent hommage à son maître Grappelli, Lockwood s'emploie par ailleurs activement à transmettre la flamme auprès de jeunes générations. Ce dont témoigne sa participation au quartet du très brillant violoniste et pianiste Thomas Enhco. Formation où s'affichent aussi le trompettiste David Enhco (frère de ce dernier), le contrebassiste Zacharie Abraham et le batteur Nicolas Charlier. Tous musiciens d'une réjouissante maturité compte tenu de leur âge - aucun d'entre eux n'a encore dépassé les 20 ans !

Dimanche 15 juin
FLAC QUARTET - JAZZ
Issus du Centre de Musique Didier Lockwood de Dammarie-les-Lys, les musiciens du Flac quartet témoignent de la pugnacité de la jeune scène jazz actuelle. Avec Eric Willoth comme pilier rythmique à la contrebasse, les pulsations de Jérémy Lainé à la batterie, les envolées lyriques soutenues de Benjamin Flandi au saxophone et les stimulations intenses de Richard Addéo au piano, cette formation affiche un goût prononcé pour la tradition hard bop. Nos gaillards alternent ainsi avec bonheur reprises de standards, improvisations et compositions personnelles avec une belle maîtrise et une incontestable maturité.
En partenariat avec Le Centre des Musiques Didier Lockwood.

Samedi 21 et dimanche 22 juin
LA PEAU D'ÉLISA PAR LA COMPAGNIE PROMÉTHÉE
"Je sentais un souffle dans mon oreille. Je ne peux pas vous dire ce que ça me faisait." Une comédienne et un cheval interprètent ce texte de la dramaturge Carole Fréchette. Pendant toute la durée du spectacle, Elisa - interprétée par Johan Daisme - se raconte. Elle parle à un jeune homme qui ne lui répond pas car il est absent. Du coup c'est au cheval qu'elle s'adresse et avec lequel elle tisse tout au long de ce spectacle une relation étrange faite de tendresse, de complicité. Elle lui glisse des mots à l'oreille et tandis que le récit progresse, l'animal devient à la fois son compagnon de route, le réceptacle de ses désirs, de ses rêves, de ses inquiétudes et de ses espoirs, l'image poétique d'un amant.
Dimanche 29 juin
PHILIPPE BECK ET FRANÇOISE LEBRUN
Merlin l'enchanteur hanterait-il les tours du château de Blandy ? Le poète Philippe Beck poursuit ses investigations. Mais il n'est pas tant un Sherlock Holmes des contes et légendes qu'un ravisseur de nos traditions. Il s'empare du passé pour le réinventer dans un contexte contemporain. C'est dans l'air qui nous entoure, celui que nous respirons tous les jours qu'il capte avec ses antennes une tradition toujours vive. Les frères Grimm, Jean de La Fontaine, la matière de Bretagne sont ainsi mis à profit sous une lumière nouvelle. La comédienne Françoise Lebrun prête sa voix et sa présence uniques à cet exercice consistant à faire entendre dans l'espace les mots du poète.
Philippe Beck est poète en résidence au château de Blandy-les-Tours, en partenariat avec le Conseil régional d'Ile-de-France.

Dimanche 6 juillet
ENSEMBLE ALTA
Se consacrant exclusivement à la musique du Moyen Âge, l'ensemble Alta est un trio privilégiant les instruments à vent. Il se compose de Pierre Boragno (à la bombarde, cornemuse, flûte à trois trous et tambour et flûtes à bec) ; de Gilles Rapin (à la trompette à coulisse et au cornet) et de Michèle Vandenbrouque (aux chalémies et douçaine). Accueillis en tant que solistes dans de nombreuses formations consacrées aux musiques anciennes, renaissance ou baroque, ce trio a notamment travaillé avec l'ensemble Alla Francesca. Parmi les compositeurs du Moyen Âge, le trio privilégie tout particulièrement ceux des XIVème et XVème siècles.

Dimanche 13 juillet
WOODS PAR LE CONCERT IMPROMPTU
Le bruit du vent dans les arbres a de tout temps précédé cet autre bruit d'air que fait le souffle dans le bois d'une flûte. Spectacle musical et chorégraphique, Woods joue ainsi de cette relation ancienne entre le bois et le son ; entre l'art, invention de l'homme, et la nature. Tel est le projet imaginé par le Concert impromptu, l'ensemble Tétraflûtes de Genève, le compositeur Jean-Michel Bossini et la danseuse et chorégraphe Marie-Françoise Garcia. Tissant des sensations en relation avec la forêt et ses entremêlements de branches, le spectacle met en oeuvre un choeur de flûtes, de flûtes chinoises, d'appeaux dans un dialogue enjoué avec les anches du Concert impromptu et les mouvements de la danse sur des musiques de Steve Reich, Sofia Gubaïdulina ou Antonio Vivaldi.
Dimanche 20 juillet
LES ILLUMINÉS
Les miroirs ne se contentent pas de reproduire la réalité, ils la déforment et surtout la découpent, la font apparaître et disparaître comme si une faille s'immisçait dans notre perception du monde remettant en question sa stabilité. Equipés de miroirs en plexiglas, les danseurs de la compagnie Migrateurs Transatlantiques, s'amusent ainsi à transformer l'espace tantôt en le démultipliant ou en l'escamotant. Il s'ensuit un jeu de cache-cache aux reflets féeriques jouant avec l'ombre et la lumière, reconstruisant et déconstruisant l'espace environnant comme si tout d'un coup le château de Blandy était devenu la proie de quelque enchantement mystérieux. Un spectacle conçu et chorégraphié par Jany Jérémie dans le cadre d'une série de projets intitulés Villes mouvementés.

Dimanche 27 juillet
PARADE
Jean Cocteau a imaginé Parade comme une déambulation autour d'un théâtre forain. Mais très vite avec le concours d'Erik Satie, Picasso, Diaghilev et Massine ce ballet prend une tournure des plus folles, sorte de collage délirant d'éléments disparates aussi drôles que loufoques. La chorégraphe Janny Jérémie et ses partenaires de la compagnie Migrateurs Transatlantique s'emparent avec délices de cette oeuvre amusante pour la présenter en extérieur. Grâce à des costumes originaux, les danseurs se transforment en véritables corps sonores. Ce sont leurs mouvements qui produisent le son diffusé par des enceintes dans l'espace. Adaptée par Pierre Sauvageot la musique de Satie trouve ainsi d'ingénieux interprètes évoquant au passage la figure et le rire inoubliables de Joséphine Baker.


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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 21:47
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samedi 19 avril 2008, à l’Espace Saint-Jean de Melun
une exposition - conférence autour du livre :

 

 

“LES AFFICHES 1914 - 1918”

donnée par l’auteur Gérard ÉDÉ

 

Durant cette guerre, l’affiche a joué un rôle essentiel dans la mobilisation de l’opinion publique. Les affiches officielles n’avaient pas pour objet de séduire ou de convaincre, leur but était d’informer la population des décisions gouvernementales.

 

Les affiches illustrées procédaient d’une toute autre démarche qui reposait sur la volonté de susciter les initiatives individuelles et de canaliser vers une espérance en la victoire finale. Utilisées comme un instrument de propagande ou d’appel à la solidarité, les affiches avaient ainsi pour objectif le rassemblement de toutes les forces humaines et de toutes les ressources financières.

 

Le gouvernement français se trouvait devant la nécessité absolue de sauvegarder la cohésion nationale, aux champs, dans les usines comme dans l’enfer des tranchées.

 

L’une de ses principales préoccupations était alors de mobiliser “l’arrière”, tant d’un point de vue économique (les emprunts) que d’un point de vue affectif (solidarité et maintien du moral des troupes).

 

L’effort de guerre ne devait donc pas être seulement supporté par les combattants du front, les civils devaient eux aussi y prendre part.

 

En un temps où la radio et la télévision n’existaient pas, l’affiche demeurait un des seuls moyens dont disposaient les autorités pour communiquer directement et rapidement avec la population.

 

Editées par centaines et diffusées massivement, les affiches étaient omniprésentes pendant toute la durée du conflit. Elles recouvraient les murs des villes et des villages, étaient placardées sur les façades des mairies, des écoles, des édifices publics et des banques.

 

Pour réaliser ces affiches, l’Etat, les banques et les sociétés de secours faisaient appel aux talents des artistes célèbres (Faivre, Hansi, Job, Leroux, Naudin, Poulbot, Scott, Sem, Steinlen, Willette …) ou encore méconnus. Ces artistes étaient des dessinateurs de presse (l’Illustration), des caricaturistes (l’Assiette au Beurre, le Rire, la Baïonnette) ou des illustrateurs.

 

Ces affiches dont le style allait de l’image réaliste à la figuration allégorique, mêlaient l’ironie et le sarcasme au tragique et à la gravité. Elles faisaient appel à des sentiments aussi divers que la colère, la sensibilité, la crainte ou l’espoir.

 

Horaires : 14 à 18 heures

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16 mars 2008 7 16 /03 /mars /2008 07:42

14 h 30, le Cercle de Généalogie et d'héraldique de Seine-et-Marne se réunira à Coulommiers, à l'Hôtel de l'Orme (ancienne sous-préfecture), rue Ernest Dessaint.
Echanges et informatique seront au menu de cette réunion:
les généalogiste, amateurs de vieux papiers, ne néglige pas pour autant les outils du présent, pour gérer, présenter, échanger ou transmettre, non seulement les résultats de leurs recherches, mais aussi les photos de famille, les photos de classe, etc.
Toutes les personnes interessées sont cordialement invitées à se joindre à nous avec leur arbre généalogique et leur ordinateur portable si possible.

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 21:36
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d’après les écrits de l’époque

ARLEUF de 1625 à 1725
 

conférence de Gewa THOQUET

à l’Espace Saint Jean de Melun le samedi 22 mars à 14 heures.

Arleuf, au cœur du Morvan, 800 habitants. Un petit bourg, au cœur de la Nièvre, totalement rural encore aujourd’hui. Mais comment vivait-on il y a trois siècles, dans ce village tranquille ? Gewa Thoquet, dont la belle-famille est originaire d’Arleuf, s’est penchée sur les rares textes qui existent, mais aussi à la façon des généalogistes sur les registres paroissiaux, les actes de notaires, etc., pour faire revivre au quotidien ces Morvandiaux. Était-ce vraiment le bon vieux temps ?, se demande-t-elle avant d’étudier tous les aspects de la vie paysanne.

 

Il s’agit donc là d’une monographie villageoise comme il en fleurit régulièrement. Le « plus » toutefois de cet ouvrage est d’avoir su sortir du domaine de la recherche pour mettre en scène et faire vivre sous les yeux du lecteur ces paysans du XVIIe siècle. Louis Barthault, l’agriculteur, retrouve vie le temps de quelques pages, comme Jeanne violée par le fils de son patron. Tout ce petit monde va à la messe, travaille dur et meurt jeune, sans parfois pouvoir transmettre le peu de biens qu’il possède.

 

A cette étude sont jointes plusieurs annexes comme la chanson du p’tit gars de Varmenoux, la copie de lettres ou un précieux glossaire sur le vocabulaire de l’époque.

 

Michel de Montaigne ne s’écriait-il pas au XVIe siècle « Quel contentement me serait-ce d’ouïr quelqu’un qui me récitât les mœurs, le visage, la contenance, les plus communes paroles et les fortunes de mes ancêtres » ? Avec son livre, Gewa Thoquet nous donne, cinq siècles plus tard, la satisfaction que Montaigne n’a pas pu avoir… Elle raconte avec force détails, de manière exacte et scientifique, la vie du petit peuple de nos campagnes au XVIIe siècle.





Arleuf : le passage de Pichu

Photo extraite de Histoire et archéologie - Morvan et Bourgogne - Articles en ligne de Roland Niaux http://v.niaux.googlepages.com/home

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10 février 2008 7 10 /02 /février /2008 21:30
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Samedi 16 février 2008 de 10 h à 18 h

pour les rencontres

organisées par le Cercle Généalogique de la Brie

 

dans les Salons d’Honneur de l’Hôtel de Ville

 

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15 décembre 2007 6 15 /12 /décembre /2007 17:27

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Généatique et sa famille
 








Lors de la permanence de janvier de  14h30 à 18h00 à l' Hôtel de l'Orme Chaumont dans l' Ancienne sous-préfecture de Coulommiers,  rue Ernest Dessaint, le CDIP fera une présentation de ses logiciels liés à la généalogie :

Généatique, Photos de Famille, Dictionnaire des Patronymes, Cartes anciennes....

et le petit dernier : Studio Scrap

Entrée libre
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12 décembre 2007 3 12 /12 /décembre /2007 00:09
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Nathalie KOVARCIK, journaliste présentera à l'Espace Saint-Jean de Melun le samedi 15 décembre 2007 à 14 heures une conférence sur

Les Poilus de May en Multien

entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles







soldats à la pause
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9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 17:06
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Réouvert au mois de septembre 2007 à l'issue d'une très importante campagne de restauration, le château fort de Blandy-les-Tours, l'un des derniers témoins de l'architecture médiévale d'Ile-de-France, fait l'objet d'un livre.
 
Le château de Blandy-les-Tours


Sous la direction d'Isabelle Rambaud, archiviste-paléographe, conservatrice générale du patrimoine
Photographies de Henri Gaud
Conseil général de Seine-et-Marne - Editions Gaud

 

Au sommaire : des textes inédits enrichis par les fouilles archéologiques et les recherches historiques et architecturales récentes, des illustrations associant les documents d'archives aux photographies actuelles, le tout rassemblé dans un ouvrage qui témoigne de l'intérêt patrimonial du monument.



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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 23:01
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En 1986, le CGHSM mit en place l'antenne de Coulommiers. Depuis , tous les 4ème samedi de chaque mois de  14h30 à 18h00 à l' Hôtel de l'Orme Chaumont dans l' Ancienne sous-préfecture,  rue Ernest Dessaint, on se réunit pour un moment de paléographie qui est suivi d'échanges, de découvertes de cousinages et d'informations réciproques.


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2 décembre 2007 7 02 /12 /décembre /2007 23:14
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Pour les personnes bien informées se tiennent tous les 2ème samedi de chaque mois à la Mairie Rue Cottereau de 10h à 12h de joyeuses réunions où l’on aborde la Paléographie à partir de documents originaux puis l’on fait des échanges d’informations sur les recherches personnelles en cours.

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